Comme vous avez pu le remarqué au long de ses pages, j'ai beaucoup d'humour. Pourtant il m'arrive d'être romentique et j'écris des petits poemes. Ici vous trouverez mes meilleures textes.

 

Océane

 

Océane pour toi mon coeur se damne

Toi qui n'a jamais les yeux qui se fane

Quand tu regarde au loin quand tu vas chercher le pain

Je t'observe en coin car j'aime bien te regarder chercher le pain.

 

Ta belle démarche qui me rappelle celle de la gazelle

Dans la savane mexicaine qui nous donne des nouvelles

De tes états d'ame et de ton petit coeur d'Océan

Celui qui me fait des vagues, celui que j'aime tant.

 

Lorsque tu as enfin acheté ta baguette

Je te regarde encore et je trouve ca chouette

De t'aimer comme ca car sans toi je ne suis rien

Nulle autre comme toi n'achète le pain aussi bien.

 

Je t'envoie ces millions de bisous que tu mettras partout

Et si tu en as le courage tu en mettras meme dans ton cou

Ton cou que j'aime tant enlacer tellement il est pleins d'odeurs

D'odeurs de vanille et de cresson, de crepes et de chandeleurs

 

Laisse moi te dire que toujours je serai avec toi quand tu seras la

Et que jamais je ne te quitterai tant que tu resteras avec moi

Jamais je n'oserai partir tant que je serais pas sur de rester

De rester dans tes bras pour etre sur que tu es restée.

 

Le souffleur de verre

 

O toi souffleur de verre qui souffle dans un tube

Toi qui fait des ronds, des carrés et des cubes

N'oublie pas que souffler n'est pas jouer

Et que l'argent n'est jamais là pour te manger

 

Toi qui souffle à longueur de journée

Prend garde de ne jamais t'essouffler

De peur de perdre ta respiration

Et qu'à force tu ne sois que désolation

 

O toi souffleur de verre qui aime fabriquer des marmites

Toi en qui tout l'art de souffler est un don et t'habite

T'habite en fleurs de ronces et de noyers

Celles la meme que tu dessines sur tes jolis pichets

 

Tes pichets de verres bleus qui se vendent si bien

Qu'a chaque fois on en achete des cartons pleins

Pleins de pichets de verre fait avec amour

Ceux dans lesquels tu as soufflé tout autour.

 

N'oublie pas de souffler et encore de souffler

Pour finir par mourir, mourir sur le bucher

Bucher qui sert à chauffer le verre qui te fait vivre

Mais vivre et souffler c'est mieux que de suivre

De suivre un chemin par les études tracé

 

Tracé d'embuches comme sur ton bucher

Et si jamais un jour tu t'es essouflé de souffler

Alors au fromage tu nous feras un soufflet.

 

Guerre, guerre jusques a quand finiras tu ?

 

Guerre que ce mot est bien laid quand il est prononcé

Prononcé par une ame innocente qu'on dépose sur l'autel

Sur l'autel de ces pauvres soldats à peine formés

Et qui vont se faire tuer sur je ne sais quel archipel

 

Je ne t'aime pas guerre je déteste te prononcer

Car en moi tout n'est qu'amour, gloire et beauté

Tous ces fusils canon et autres mitraillettes

Ne sont que poudre aux yeux et poudre d'escampette

 

Si jamais un jour on m'envoie à la guerre

Alors je déserterai car je n'y crois guère

Que tuer des gens serve à quelque chose

Je préfère et de loin faire des bouquets de rose

 

Roses que j'enverrai à tous les gens du monde entier

Pour leur dire que dans la vie le plus important c'est d'aimer

D'aimer jusqu'à ce que tout le monde s'apprécie encore

Encore davantage et ne pas faire encore plus de morts

 

Je carresse l'espoir qu'un jour tu t'arreteras

Car nous ne sommes pas des rats

Des rats qui s'enfuient et en courant se terrent

Lorsqu'ils entendent les canons de la guerre.

 

Tout en moi n'est que pet et bonheur

Et c'est vrai que tout ce que j'ai dans mon coeur

Je le garde pour Océane la compagne de mes jours

Celle avec qui je veux vivre a jamais et toujours.

 

Le jardin de mon papa

 

Il existe un bel endroit à l'autre bout du monde

Qui est bien loin de tout, mais bien loin d'etre immonde

C'est le beau jardin de mon papa fleuri et parfumé

Parfumé d'odeurs de jasmin et de fleurs d'oranger

 

Il y cultive tout un tas de choses bonnes à manger

Des salades, des potirons et même des oliviers

On cueille les olives quand enfin vient la saison

Qu'on met sur des pizzas, des pizzas fait maison.

 

Hélas il est des etres qui n'aiment pas son jardin

Je n'ose pas les dénoncer mais on les nomme lapins

Qu'a cela ne tienne toujours mon papa se venge

Et a chaque salade volée c'est un lapin qu'on mange.

 

Il y cultive aussi des légumes et il m'a assuré

Que les potes de mes potes sont ses potes

Et que là ou mes potes vont, ses potes iront.